Cette exposition propose un regard large sur le gamelan à Bali, à travers photos, œuvres, masques de théâtre dansé Topèng, costumes de danse, sculptures ornementales et autres objets. Une manière d’interroger des notions usuelles en Occident (orchestre, spectacle, échelle, rythme, mélodie, langage) qui, bien souvent à Bali, se trouvent remplacées par d’autres. par Kati Basset, artiste, enseignant et chercheur en ethnomusicologie, ethno-poétique, ethnologie.
![]() Comme les autres domaines culturels à Bali, le gamelan est régi par une certaine vision du monde, héritée de conceptions indiennes, où tout est mis en relation selon des lois de résonance, au propre comme au figuré. Pour l’œil et l’oreille avertis, ces lois sont lisibles partout, à toutes échelles. Cette exposition conçue par Catherine Basset propose un regard large sur le gamelan à Bali, à travers photos, œuvres, masques de théâtre dansé Topèng, costumes de danse, sculptures ornementales et autres objets. Une manière d’interroger des notions usuelles en Occident (orchestre, spectacle, échelle, rythme, mélodie, langage) qui, bien souvent à Bali, se trouvent remplacées par d’autres. | Accès libre |